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Regine Hildebrandt
Rhön-Sprudel medium
rote Haare
Rudern aufm Lake Winnipesaukee
schöne Hände
seine Meinung ändern können
Senf
sich bestricken lassen
Sommernächte auf dem Balkon
Sommersprossen
Sonne, die in die Wohnung scheint
strictly non-profressional
tolles Haar, um mit der Hand durchzufahren
Türen aufhalten
Unbeirrtheit
Unverblümtheit
Verbundenheit
Wahlsonntage
was anpacken
sábado, 1 de octubre de 2011
sábado, 23 de julio de 2011
Mon Dieu, que les hommes sont... 2
Que veulent dire ces colères
Et ces propos de mauvais ton?
Sont-ce là, monsieur, les manières
Qu'on doit avoir dans un salon?
Troubler ainsi l'éclat des fêtes
Dont je prends ma part pour ton bien!
Nigaud, nigaud, tu ne comprends donc rien?
Mon Dieu! que les hommes sont bêtes!
Comment! tu vois que j'ai la chance,
Et tu veux tout brouiller ici!
Manquerais-tu de confiance?
C'est un défaut chez un ami.
Laisse-les donc finir, ces fêtes,
Et puis après tu verras bien…
Nigaud, nigaud, tu ne comprends donc rien?
Mon Dieu! que les hommes sont bêtes!
Et ces propos de mauvais ton?
Sont-ce là, monsieur, les manières
Qu'on doit avoir dans un salon?
Troubler ainsi l'éclat des fêtes
Dont je prends ma part pour ton bien!
Nigaud, nigaud, tu ne comprends donc rien?
Mon Dieu! que les hommes sont bêtes!
Comment! tu vois que j'ai la chance,
Et tu veux tout brouiller ici!
Manquerais-tu de confiance?
C'est un défaut chez un ami.
Laisse-les donc finir, ces fêtes,
Et puis après tu verras bien…
Nigaud, nigaud, tu ne comprends donc rien?
Mon Dieu! que les hommes sont bêtes!
Mon Dieu, que les hommes sont...
C'est un succès. Mes conseils t'ont presque trop bien réussi.
- Il veut m'épouser maintenant parce que je suis une menteuse et que j'ai tout à me faire pardonner.
- Je t'avais prévenue.
- Et il m'a crue tout de suite. Il n'a même pas douté. Il n'a même pas douté.
-Bien encore content d'être malheureux.
- Mon Dieu, mon Dieu, que les hommes sont bêtes.
- Oh... Quelle idée pour une chanson ! Écoute plutôt.
Chantant : Mon Dieu, mon Dieu, que les hommes sont bêtes.
- Chante avec moi. Ce n'est pas la conviction qui te manquera. .
Chantant : Mon Dieu, mon Dieu, que les hommes sont bêtes. Que les hommes sont bêtes ! Que les hommes sont bêtes !
-Nous pouvons le répéter plusieurs fois. C'est une chose que nous ne dirons jamais assez !
Chantant : Mon Dieu !
- Ici nous allons mettre un « Ah » pour te permettre de soupirer !
Chantant : Mon Dieu ! Ah ! Que les hommes sont bêtes ! Sont bêtes !
- Maintenant un petit couplet sans importance. L'important, c'est le refrain. Supposons que ce soit ton bel ami qui parle. Voici, à peu près ce qu'il te dirait.
Chantant : Je ne suis pas homme jaloux. Tu peux mentir. J'adore ça. Tu m'as trompé, moi je t'épouse. Pardon pour...
-Tout cela me tourne la tête. C'est en faisant mal qu'on fait bien. J'avoue, j'avoue. Je n'y comprends rien. Rien. Rien. Fors ceci. Mon Dieu, mon Dieu, que les hommes sont bêtes. Que les hommes sont bêtes ! Que les hommes sont bêtes ! Mon Dieu ! Ah ! Que les hommes sont bêtes ! Sont bêtes !
- Le seul ennui, c'est que je vais probablement avoir un enfant.
- Et c'est le moment que tu choisis pour chasser le père ! Mais tu ne pouvais pas le lui dire simplement au lieu de te servir de mes trucs !
-Oh... J'ai mon idée...
- Il veut m'épouser maintenant parce que je suis une menteuse et que j'ai tout à me faire pardonner.
- Je t'avais prévenue.
- Et il m'a crue tout de suite. Il n'a même pas douté. Il n'a même pas douté.
-Bien encore content d'être malheureux.
- Mon Dieu, mon Dieu, que les hommes sont bêtes.
- Oh... Quelle idée pour une chanson ! Écoute plutôt.
Chantant : Mon Dieu, mon Dieu, que les hommes sont bêtes.
- Chante avec moi. Ce n'est pas la conviction qui te manquera. .
Chantant : Mon Dieu, mon Dieu, que les hommes sont bêtes. Que les hommes sont bêtes ! Que les hommes sont bêtes !
-Nous pouvons le répéter plusieurs fois. C'est une chose que nous ne dirons jamais assez !
Chantant : Mon Dieu !
- Ici nous allons mettre un « Ah » pour te permettre de soupirer !
Chantant : Mon Dieu ! Ah ! Que les hommes sont bêtes ! Sont bêtes !
- Maintenant un petit couplet sans importance. L'important, c'est le refrain. Supposons que ce soit ton bel ami qui parle. Voici, à peu près ce qu'il te dirait.
Chantant : Je ne suis pas homme jaloux. Tu peux mentir. J'adore ça. Tu m'as trompé, moi je t'épouse. Pardon pour...
-Tout cela me tourne la tête. C'est en faisant mal qu'on fait bien. J'avoue, j'avoue. Je n'y comprends rien. Rien. Rien. Fors ceci. Mon Dieu, mon Dieu, que les hommes sont bêtes. Que les hommes sont bêtes ! Que les hommes sont bêtes ! Mon Dieu ! Ah ! Que les hommes sont bêtes ! Sont bêtes !
- Le seul ennui, c'est que je vais probablement avoir un enfant.
- Et c'est le moment que tu choisis pour chasser le père ! Mais tu ne pouvais pas le lui dire simplement au lieu de te servir de mes trucs !
-Oh... J'ai mon idée...
martes, 17 de mayo de 2011
A 27 de marzo - Cancionero de Medinaceli
Romance a la muerte de don Manrique de Lara
A veynte y siete de março, la media noche sería,
en Barcelona la grande grande llanto se hazía.
Los gritos llegan al cielo, la gente se amortecía
por don Manrique de Lara, que deste mundo partía.
Muerto lo traen a su tierra, donde bivo sucedía;
su bulto lleva cubierto de muy rica pedrería,
[cercado descudos darmas, de real genalogía,
de aquellos altos linages donde aquel señor venía,
de los Manriíquez y Castros el mejor era que avía,
de los infantes de Lara derechamente venía.
Con él salen arçobispos con toda la clerezía.
Cavalleros traen sus andas, duques son su compañía.]
Llóralo el rey y la reyna como aquel que les dolía,
llora toda la corte, cada qual quien más podía.
Quedaron todas las damas sin consuelo ni alegría;
cada uno de los galanes con sus lágrimas dezía:
El mejor de los mejores oy nos dexa en este día;
hizo honra a los menores, a los grandes demasía,
[parecía al duque su padre en todo cavallería;]
solo un consuelo le queda a el que más le quería,
que aunque la vida muriese, su memoria quedaría.
[Pareciome Barcelona a Troya quando se ardía.]
A veynte y siete de março de la medianoche serìa
En Barçelona la grande llanto se hazia.
Los gritos llegan al cielo, la gente se amortecìa
Por Don Manrique de Lara que deste mundo partìa.
Muerto lo traen a su tierra donde bivo sucedìa;
Su bulto lleva cubierto de muy rica pedrerìa.
Cercado d'escudos, d'armas, de real genalogia,
De aquellos altos linages donde aquel señor venìa.
Con èl salen arçobispos con todos la clerezia
Cavalleros traen sus andas, duques son su compañìa.
Lloralo el rey y la reyna como aquel que les dolìa
Llora toda la corte, cada qual quien mas podìa.
Quedaron todas las damas sin consuelo nì alegrìa
Cada uno de los galanes con sus làgrimas dezìa.
« El mejor de los mejores oy nos dexa en este dìa »
Hizo honra a los mejores, a los grandes demasìa.
Parecìa a duque su padre en todo cavallerìa
Sòlo un consuelo le queda a el que màs le querìa.
Que aunque la vida muriese su memoria quedarìa.
Pareciòme Barcelona a Troya quando se ardìa.
A veynte y siete de março, la media noche sería,
en Barcelona la grande grande llanto se hazía.
Los gritos llegan al cielo, la gente se amortecía
por don Manrique de Lara, que deste mundo partía.
Muerto lo traen a su tierra, donde bivo sucedía;
su bulto lleva cubierto de muy rica pedrería,
[cercado descudos darmas, de real genalogía,
de aquellos altos linages donde aquel señor venía,
de los Manriíquez y Castros el mejor era que avía,
de los infantes de Lara derechamente venía.
Con él salen arçobispos con toda la clerezía.
Cavalleros traen sus andas, duques son su compañía.]
Llóralo el rey y la reyna como aquel que les dolía,
llora toda la corte, cada qual quien más podía.
Quedaron todas las damas sin consuelo ni alegría;
cada uno de los galanes con sus lágrimas dezía:
El mejor de los mejores oy nos dexa en este día;
hizo honra a los menores, a los grandes demasía,
[parecía al duque su padre en todo cavallería;]
solo un consuelo le queda a el que más le quería,
que aunque la vida muriese, su memoria quedaría.
[Pareciome Barcelona a Troya quando se ardía.]
A veynte y siete de março de la medianoche serìa
En Barçelona la grande llanto se hazia.
Los gritos llegan al cielo, la gente se amortecìa
Por Don Manrique de Lara que deste mundo partìa.
Muerto lo traen a su tierra donde bivo sucedìa;
Su bulto lleva cubierto de muy rica pedrerìa.
Cercado d'escudos, d'armas, de real genalogia,
De aquellos altos linages donde aquel señor venìa.
Con èl salen arçobispos con todos la clerezia
Cavalleros traen sus andas, duques son su compañìa.
Lloralo el rey y la reyna como aquel que les dolìa
Llora toda la corte, cada qual quien mas podìa.
Quedaron todas las damas sin consuelo nì alegrìa
Cada uno de los galanes con sus làgrimas dezìa.
« El mejor de los mejores oy nos dexa en este dìa »
Hizo honra a los mejores, a los grandes demasìa.
Parecìa a duque su padre en todo cavallerìa
Sòlo un consuelo le queda a el que màs le querìa.
Que aunque la vida muriese su memoria quedarìa.
Pareciòme Barcelona a Troya quando se ardìa.
lunes, 16 de mayo de 2011
Der Mann ohne Eigenschaften
Im Grunde wissen in den Jahren der Lebensmitte wenig Menschen mehr, wie sie eigentlich zu sich selbst gekommen sind, zu ihren Vergnügungen, ihrer Weltanschauung, ihrer Frau, ihrem Charakter, Beruf und ihren Erfolgen, aber sie haben das Gefühl, daß sich nun nicht mehr viel ändern kann. Es ließe sich sogar behaupten, daß sie betrogen worden seien, denn man kann nirgends einen zureichenden Grund dafür entdecken, daß alles gerade so kam, wie es gekommen ist; es hätte auch anders kommen können; die Ereignisse sind ja zum wenigsten von ihnen selbst ausgegangen, meistens hingen sie von allerhand Umständen ab, von der Laune, dem Leben, dem Tod ganz anderer Menschen, und sind gleichsam bloß im gegebenen Zeitpunkt auf sie zugeeilt. So lag in der Jugend das Leben noch wie ein unerschöpflicher Morgen vor ihnen, nach allen Seiten voll von Möglichkeit und Nichts, und schon am Mittag ist mit einemmal etwas da, das beanspruchen darf, nun ihr Leben zu sein, und das ist im ganzen doch so überraschend, wie wenn eines Tags plötzlich ein Mensch dasitzt, mit dem man zwanzig Jahre lang korrespondiert hat, ohne ihn zu kennen, und man hat ihn sich ganz anders vorgestellt. Noch viel sonderbarer aber ist es, daß die meisten Menschen das gar nicht bemerken; sie adoptieren den Mann, der zu ihnen gekommen ist, dessen Leben sich in sie eingelebt hat, seine Erlebnisse erscheinen ihnen jetzt als der Ausdruck ihrer Eigenschaften, und sein Schicksal ist ihr Verdienst oder Unglück.
sábado, 7 de mayo de 2011
Playlist Haendel
- Waft her Angels through the skies (Jephtha)
- Scherza infida (Ariodante)
- What passion cannot music raise and quell (Ode for St. Cecilia's day)
- Son nata a lagrimar, Se pietà di me non senti, Piangerò (Gulio Cesare)
- My breast with tender pity swells, Cease Ruler of the day (Hercules)
- Ombre pallide, Verdi prati, Tornami a vagheggiar, Mi restano le lagrime (Alcina)
- As with rosy steps, With darkness deep (Theodora)
- Se vago rio (Aminta e Fillide)
- D' Amor fu consiglio, Ferma l´ali (La Resurrezione)
- Gentle Morpheus, son of night; Tune your harps (Alceste)
- Tu del ciel ministro elletto (il Trionfo del tempo e del disinganno)
- As steals the morn (L'allegro, il penseroso ed il moderato)
- Scherza infida (Ariodante)
- What passion cannot music raise and quell (Ode for St. Cecilia's day)
- Son nata a lagrimar, Se pietà di me non senti, Piangerò (Gulio Cesare)
- My breast with tender pity swells, Cease Ruler of the day (Hercules)
- Ombre pallide, Verdi prati, Tornami a vagheggiar, Mi restano le lagrime (Alcina)
- As with rosy steps, With darkness deep (Theodora)
- Se vago rio (Aminta e Fillide)
- D' Amor fu consiglio, Ferma l´ali (La Resurrezione)
- Gentle Morpheus, son of night; Tune your harps (Alceste)
- Tu del ciel ministro elletto (il Trionfo del tempo e del disinganno)
- As steals the morn (L'allegro, il penseroso ed il moderato)
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